Michèle Le Gallo

Née à Paris le 30 décembre 1950, elle vit et travaille à Meung-sur-Loire, près d’Orléans dans le Loiret, depuis 2001.

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Lauréate de l’Institut (Académie des Beaux-arts) en 1988, puis Médaille d’or, prix Corot et Grand prix du Salon des Artistes Français (au Grand Palais à Paris) en 1989, elle a obtenu le prix de la Galerie Tenri (Association franco‑japonaise de Paris) en 1990, ainsi que le prix des Artistes Orléanais en 2006.

Elle a exposé en Allemagne (Bernau, Heidelberg), au Luxembourg, en Italie (Venise, Florence), et dans de nombreuses villes de France. Elle compte des collectionneurs privés à Paris, New-York, Washington, Montréal, Venise, Florence, Amsterdam, Berne, Bernau, Cape-Town, Heidelberg, La Haye, Albertville, Arras, Avallon, Brest, Calais, Gien, La Baule, Saint-Nazaire, Lens, Meung-sur-Loire, Orléans, Tours, Toulon …

Peintre matiériste professant son admiration pour Miquel Barceló, Antoni Tápies et Paul Rebeyrolle, elle travaille pièces de bois (provenant de la proche Sologne), toiles de lin et papiers en technique mixte, combinant pigments à l’huile ou acrylique, encres et feuilles de cuivre. Elle recherche souvent des effets de dorure, et accepte volontiers la référence à Gustav Klimt, sans se cantonner dans le figuratif ni l’abstrait, comme le confirme un article du Benezit : « Michèle Le Gallo oscille entre la figuration et une abstraction qui peut être organique ou minérale, mais montre toujours des effets de matières superposées » (Annie Pagès, 1994).